ECONOS, le partenaire durable du Gala CCIFER

Comment les participants peuvent-ils contribuer à réduire l’empreinte carbone ?

Nous nous sommes engagés au sein de la communauté franco-romaine à contribuer systématiquement à la transition vers une économie plus verte. Pour cela, nous devons mieux comprendre les sources de pollution les plus importantes, mais aussi trouver des solutions à l’avance pour atténuer l’impact.

En 2022, CCIFER, avec l’aide de son partenaire ECONOS, a réalisé un bilan de l’empreinte carbone du Gala CCIFER, un événement d’une complexité particulière et d’un contenu extrêmement diversifié, organisé pour plus de 500 personnes.

Environ 9,4 tonnes de CO2 ont été libérées pour la production de l’événement lui-même, en particulier pour le transport et la nourriture. Cette année, avec l’aide des recommandations d’ECONOS, nous voulons impliquer les participants dans la réduction de l’empreinte carbone, en leur offrant des alternatives durables aux principales sources d’émissions de gaz à effet de serre.

Le Gala CCIFER 2023 a généré 31,7% moins d’émissions de CO2 que l’édition précédente

Cette année, le Gala CCIFER a émis 6.460 kg CO2, les trois sources d’émissions étant représentées par la consommation alimentaire, les voyages en avion et les déplacements en voiture.

Nous vous invitons à lire les résultats de l’empreinte carbone réalisée par ECONOS et à découvrir ce qui a permis de réduire les émissions de CO2 :

La consommation alimentaire, principale source d'émissions en 2022

Le bilan carbone du Gala CCIFER 2022 réalisé par ECONOS a permis d'identifier les principales sources d'émissions de gaz à effet de serre afin de les réduire. La source d'émissions la plus importante en 2022 était la consommation alimentaire, qui représentait 36,92% des émissions du Gala. Ce chiffre est très élevé en raison de la grande quantité de repas à base de viande consommés pendant l'événement. Sur les 500 menus du gala, 480 étaient à base de viande et seulement 20 étaient végétariens. Bien que la meilleure option pour réduire votre empreinte carbone soit de passer à un régime végétalien, nous savons que cet engagement est encore trop difficile à prendre pour certains participants. Nous avons donc comparé le bœuf à une autre viande, le poulet, pour souligner à quel point il faut l'éviter.

La recherche agroalimentaire a montré que la production de viande bovine génère d'importantes émissions de dioxyde de carbone (CO2) et d'autres gaz à effet de serre, contribuant ainsi au réchauffement de la planète. L'écart étant très important par rapport aux autres types de viande, sa consommation pourrait être remplacée par d'autres types de viande, comme le poulet, qui émet environ 6 fois moins de CO2.v

L'une des principales causes de l'augmentation des émissions de CO2 dans le secteur de la viande bovine est l'élevage intensif. Pour répondre à la demande croissante de viande, les agriculteurs ont commencé à adopter des méthodes d'élevage intensif. Ces pratiques impliquent l'utilisation d'aliments concentrés, d'antibiotiques et d'hormones de croissance. Ces méthodes entraînent la libération de quantités importantes de méthane (CH4) dans l'atmosphère. Le méthane est un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le CO2, ce qui amplifie l'impact négatif de l'élevage intensif sur le changement climatique.

La viande bovine émet en effet beaucoup de CO2 en raison de la production intensive de viande bovine, du défrichage pour le pâturage (qui libère du CO2 absorbé), du transport et de la transformation (réfrigération et emballage) de la viande. En adoptant des mesures durables telles que la réduction de la consommation de viande, le passage à une agriculture durable et la protection des forêts, nous pouvons réduire de manière semi-efficace l'impact environnemental de cette industrie, y compris son empreinte CO2 lors du Gala CCIFER 2023.

Limiter les déplacements en avion est essentiel pour réduire l'empreinte carbone de l'événement

La deuxième source d'émissions la plus importante lors du bilan carbone du Gala CCIFER 2022 a été le transport aérien des participants. 16 vols domestiques et 3 vols internationaux ont représenté 27,93% des émissions du Gala. Il est donc essentiel de limiter les déplacements en avion des participants au Gala CCIFER afin de réduire l'empreinte carbone de l'événement.

Si l'on considère les voyages de courte distance, tels que les voyages nationaux, le train est une option respectueuse de l'environnement, avec un impact CO2 réduit par rapport à l'avion. L'une des principales raisons pour lesquelles le train est plus respectueux de l'environnement en termes d'émissions de CO2 est sa plus faible consommation de carburant, c'est-à-dire moins d'énergie par passager que la consommation massive de carburant des avions.

Pour les vols intérieurs court-courriers, le rapport entre la consommation de carburant et la distance parcourue est plus défavorable à l'avion, étant donné que les moments critiques où les émissions de CO2 sont les plus élevées sont le décollage et l'atterrissage. Les trains présentent également un meilleur bilan énergétique que les avions, ce qui réduit les émissions de CO2 par passager, car ils sont capables de transporter un grand nombre de passagers à la fois. Il est important de noter que les vols intérieurs sont les plus gros émetteurs de dioxyde de carbone, avec 291 % d'émissions en plus que les voyages en train.

Dans de nombreux cas, le train peut être plus rapide et plus pratique que l'avion pour les déplacements de courte distance à travers le pays, surtout si l'on tient compte des nombreuses procédures de sécurité dans les aéroports.

Le véhicule électrique, une alternative plus écologique pour les déplacements

Enfin, les déplacements vers le lieu de l'événement et le retour à la maison ou à l'hôtel sont inclus dans les trois points chauds, avec une responsabilité totale de 10,74 % de l'empreinte carbone du Gala CCIFER 2022. Dans le même ordre d'idées, il est important de souligner que le véhicule électrique est une meilleure alternative aux moteurs thermiques.

Les voitures électriques ont gagné en popularité en tant qu'alternative plus écologique aux voitures équipées de moteurs à essence ou diesel. Le problème de ces derniers est que leurs moteurs fonctionnent en brûlant des combustibles fossiles, ce qui libère des émissions directes de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère. En revanche, les voitures électriques n'émettent pas de gaz d'échappement car elles sont propulsées par un moteur électrique alimenté par une batterie. Elles ne produisent donc pas directement de CO2 lorsqu'elles sont en mouvement, ce qui en fait une option plus écologique pour réduire l'impact sur l'environnement. Cependant, elles produisent également des émissions indirectes, qui peuvent survenir au cours du processus de production et lors de la production d'énergie pour charger les batteries.

En mettant l'accent sur le développement des infrastructures de recharge et des sources d'énergie renouvelables, les voitures électriques peuvent jouer un rôle clé dans la réduction de notre empreinte carbone et la protection de l'environnement. Leur utilisation peut réduire l'empreinte carbone d'un individu, en émettant 56 % de CO2 en moins.

ECONOS est un cabinet de conseil spécialisé dans le reporting environnemental qui accompagne les entreprises privées, ainsi que les institutions publiques, dans l’analyse, la réduction et la compensation de leurs émissions de Gaz à effet de serre (GHG émissions). Les experts d'ECONOS, en tant que leaders en analyse d'empreintes carbones en Roumanie, ont été sélectionné par le Ministère de l'Environnement Roumain et les autorités françaises afin de travailler sur la création d'une base de données carbone nationale.

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