Ensemble, nous plantons la Forêt CCIFER
500 arbres pour compenser 9 tonnes d'émissions de CO2. Nous plantons la Forêt CCIFER avec nos partenaires de l'Association Se Poate
Lors de la célébration des 25 ans d’activité, la CCIFER a planté un acacia pour chaque entreprise membre. C’est 'origine du projet « Ensemble nous plantons la Forêt CCIFER », un programme de responsabilité sociale à travers lequel nous renforçons l’engagement de la communauté franco-roumaine en faveur du développement durable et de la transition verte. La Forêt CCIFER est située dans le périmètre de la commune de Lipănești, Prahova, près de la rivière Teleajen. L’action de plantation volontaire de l’année dernière a été menée en partenariat avec L'Association Se Poate, dont l’objectif est de planter 100.000 arbres en 5 ans.
En 2022, nous renouvellons notre engagement en plantant encore 550 acacias ensemble !
Dan Enăchescu, président de l’Association Se Poate, nous explique pourquoi nous devrions investir dans la reforestation.
CCIFER: La CCIFER met en avant l’approche responsable et mobilise l’ensemble de la communauté d’affaires franco-roumaine pour une nouvelle action reforestation, menée sous le titre « Ensemble plantons la Forêt CCIFER ». Un autre 550 acacias seront plantés à Lipănești en novembre, avec le soutien de l’association que vous dirigez. Comment se développe la forêt d’acacia ?
DE: La forêt d’acacia pousse littéralement et figurativement. Au-delà du fait que c’est absolument impressionnant comment un endroit où il n’y avait rien est revenu à la vie et s'est transformé en forêt dans le vrai sens du terme. Cette forêt s'est également transformé en une marque qui a grandi et mobilisé toute une communauté : hommes d’affaires, particuliers, étudiants et, bien sûr, n’oublions pas le maire du village de Lipanesti, M. Robert Viorel Nica, notre principal soutien dans cette initiative. J’ajouterais que c'est un vrai bonheur pour les bénévoles qui s’impliquent ce projet.
CCIFER: Qu’est-ce qui est important dans une action de reforestation ? À quoi devons-nous prêter attention ?
DE: Au-delà des enjeux techniques qui sont définis par nos spécialistes,il ne faut pas minimiser l’organisation et la mobilisation. Aussi épique que cela puisse paraître, la reforestation exige beaucoup de travail physique et un véritable déploiement de forces. Nous prenons en compte la perception globale que les bénévoles ont dans les actions de plantation, et notre association vise à les fidéliser durablement. Ils doivent croire avec nous pour s'engager à long terme.
CCIFER: Dans la stratégie de l’association, en plus de la protection de l’environnement, vous réalisez également des projets éducatifs liés aux expériences culturelles, à l’inclusion sociale et au développement personnel et social des jeunes. Sur quoi travaillez-vous actuellement, si vous pouvez nous en donner un exemple?
DE: Un projet dont nous sommes très fiers et qui produit des effets aujourd’hui est « l'Atelier de presse », les bénéficiaires étant les élèves des écoles de la commune de Lipăneşti, Prahova. Cela s’est concrétisé par l’acquisition d’une presse qui a le rôle de compactage et de recyclage les bouteilles en plastique. C’est un projet viable qui permet d’économiser de l’argent, parce que l’hôtel de ville n’assure pas le transport de ces déchets et, bien sûr, contribue à éduquer les gens et les jeunes en se familiarisant avec le concept du recyclage sélectif.
Ensuite, je voudrais vous rappeler le projet Green Tree Seas Initiatives : un projet Erasmus ou nous formons de jeunes ambassadeurs au niveau international pour promouvoir les principes verts liés à l’écologie, une économie circulaire et un mode de vie axé sur la protection de l’environnement dans lequel nous vivons, avec l’épicentre à Bruxelles. Nous voulons que ces ambassadeurs transmettent le message Green Tree Seas Initiatives avec conviction et dévouement, car toutes nos actions dictent notre avenir.